[Dystopie] Après Vox, Christina Dalcher revient avec une dystopie encore plus percutante ! À travers les questionnements et les découvertes de son héroïne, elle aborde une foule de problématiques, et pas seulement la façon de mesurer l'intelligence pour créer l'élite de la société. QI va bien plus loin que cela et s'inspire même du passé pour nous prouver que l'homme peut très rapidement succomber à un sentiment de supériorité pourtant injustifié... Un coup de cœur que j'ai dévoré en une journée ! Ne passez pas à côté de cette pépite, d'autant que les quelques défauts que j'avais pu relever dans Vox ont été gommés avec brio.
[Dystopie] Malgré toutes les qualités de La Maison aux mille étages, je n'ai pas pris de plaisir à ma lecture. Pourquoi ? Eh bien, c'est simple : le surréalisme prend largement le pas sur la dystopie, or c'est un genre que je n'affectionne pas. Ni l'intrigue, qui a clairement moins d'importance que le sous-texte, ni le style volontairement fouillis, mais rythmé, ne m'ont emportée. Bien sûr, j'ai vu la profondeur des messages cachés et l'intelligence de l'univers, toutefois cela n'a pas suffi.
[Dystopie - Fantasy politique] The Girl with no soul, c'est un postulat de départ auquel j'ai adhéré dès la lecture du synopsis. Les premiers chapitres m'ont enchantée : le worldbuilding était intéressant et l'héroïne, sans âme, captivante. Toutefois, même si j'ai continué à tourner les pages sans éprouver de difficultés, je me suis vite rendue à l'évidence : l'intrigue ne serait jamais approfondie. Ni complot politique, ni rébellion ne m'emporteraient ! Morgan Owen a préféré offrir une place centrale à la romance, un choix que je n'approuve décidément pas...
[Dystopie] Analog / Virtuel, c'est l'histoire d'une fracture numérique qui s'inscrit dans une société méritocratique. Dans ce monde pas si éloigné du nôtre, les disparités entre riches et pauvres sont exacerbées par l'accès limité à la technologie pour ces derniers. La rébellion est donc imminente ! Rien d'original de ce côté, néanmoins la narration sort complètement des sentiers battus puisque Lavanya Lakshminarayan dédie chaque chapitre à un personnage différent. Le résultat est une fresque grandiose dont le fil rouge apparaît très clairement pour nous mener jusqu'à la destruction des fondements d'Apex City !
[Dystopie] Voilà un titre un peu trop jeunesse pour moi, mais qui devrait plaire aux enfants (dès 8 ans). Les idées sont brillantes, l'univers original, l'intrigue riche en aventures ; impossible de s'ennuyer entre les pages de ce livre. Seuls bémols pour ma part : les révélations que j'ai facilement anticipées et les antagonistes que j'ai trouvés trop lisses. Je tiens néanmoins à souligner l'ambiance un chouia creepy qui fait de Bienvenue à Perfect City, un roman parfait pour Halloween !
[Dystopie] Comme je m'y attendais, je ne suis pas totalement convaincue par ce dernier tome. En ce qui concerne la romance, ce n'est pas vraiment une surprise, puisqu'elle est cliché depuis le début. Quant au reste... Eh bien, ma déception porte à la fois sur l'antagoniste trop caricatural et le manque d'approfondissement de l'univers, pourtant original. Je reconnais néanmoins que le livre se lit d'une seule traite, l'intrigue étant très dynamique. Et puis, je suis tout de même contente de connaître le dénouement, bien qu'il soit clairement expéditif.
[Dystopie - Post-apocalyptique] Vous devez savoir une chose avant de commencer ce roman : tous les protagonistes trichent ! Mais qui ? Et quand ? J'ai essayé de le deviner, néanmoins Emmanuel Quentin m'a bernée à plusieurs reprises. Incisive, sa plume se veut au service de l'histoire ; il n'y a pas d'explications superflues concernant notre monde en ruine ou le contrôle des masses par l’État. Seulement un anti-héros désabusé dont l'égoïsme le poussera jusque dans ses derniers retranchements. Rebondissements garantis pour une lecture courte et percutante !
[Dystopie - Fantasy] Si j'ai davantage apprécié ce deuxième tome, c'est avant tout parce que l'on pénètre au cœur de l'intrigue. L'auteure nous dévoile peu à peu son univers, et c'est tout à fait captivant. Néanmoins, les héros sont toujours aussi impulsifs, ce qui m'a désespérée. Quant à la romance... Eh bien, elle m'a grandement horripilée, mais ce n'est pas une surprise. Quoi qu'il en soit, cela ne m'empêchera pas d'aller au bout de cette trilogie dont le potentiel est indéniable !
[Dystopie] Cette réécriture du conte de La Reine des neiges est aussi étrange que surprenante. Après avoir dépassé les 50 premières pages, bien trop contemplatives à mon goût, j'ai apprécié découvrir cet univers dystopique qui met en avant les dérèglements climatiques. Toutefois, j'aurais préféré en apprendre davantage au sujet des technologies qui permettent à l'humanité de survivre. De plus, les héros m'ont pour la plupart laissée de marbre. Quant au final, je ne sais toujours pas quoi en penser, et c'est bien dommage...
[Dystopie] Tout n'est pas parfait dans ce livre - par exemple, le comportement téméraire de l'héroïne et la relation qu'elle entretient avec un garde m'ont déplu -, mais l'essentiel est bien le message qu'il transmet. Celui-ci est d'ailleurs d'actualité, puisqu'il met en avant les dérives possibles, probables même, de l'islamophobie !
[Dystopie - Post-apocalyptique] Ce qui fait la force de ce one-shot, c'est son univers post-apocalyptique, à la fois crédible et terrifiant ! C'est avec soin que l'auteure le construit au fil des pages. En revanche, l'intrigue s'éparpille un peu trop, l'héroïne souhaitant mener toutes les batailles. Résultat : le scénario n'est pas exempt de facilités ou de raccourcis. Heureusement, le final est tout simplement grandiose !