[Fantastique - Post-apocalyptique] Adaptée du roman Mers mortes et faisant office de préquel, cette bande dessinée est un chef-d'œuvre visuel. Les dessins, constitués de couleurs vives et d'une multitude de détails, sont tout simplement sublimes. J'ai également apprécié retrouver Bengale, personnage ô combien charismatique rencontré dans le livre. Néanmoins, format oblige, je suis restée sur ma faim. Tant pis, ce fut quand même une belle expérience de lecture (que je déconseille aux âmes sensibles en raison de scènes particulièrement macabres).
[Dark fantasy - Post-apocalyptique] Le Désert des couleurs est mon cinquième roman d'Aurélie Wellenstein. Si c'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé son style si percutant, je trouve que ce one-shot sort du lot. Je le précise, il n'est pas au-dessus des précédents, cependant il n'est pas aussi sombre, selon moi. Dans une quête qui confronte passé révolu et avenir incertain, les héros iront au bout d'eux-mêmes afin d'offrir un espoir à l'humanité tout entière. Que d'émotions j'ai ressenties tout au long de ma lecture !
[Post-apocalyptique] Dans Yardam, Aurélie Wellenstein s'intéresse aux conséquences d'une mise en quarantaine, certes nécessaire pour limiter la propagation d'un virus pernicieux, mais qui s'éternise, poussant à bout la population. Ambiance oppressante, personnages en perdition et violences sont donc au rendez-vous ! Attention, toutefois : les scènes de sexe sont nombreuses et particulièrement explicites.
[Fantastique - Post-apocalyptique] Encore une fois, Aurélie Wellenstein frappe fort. Cette lecture fut intense, bouleversante et même insoutenable par moments. Ce qui est sûr, c'est que je n'en suis pas ressortie indemne...
[Dark fantasy] Sombre et violent, Le Dieu oiseau raconte le combat de Faolan pour sa liberté. Et quel combat ! J'ai tremblé pour lui, avec lui, tout au long de l'histoire.
[Dark fantasy] Voilà une autre perle rare du salon des Halliennales de 2015, un one-shot aussi sombre que surprenant qui m'a enchantée !