[Post-apocalyptique] Dans Yardam, Aurélie Wellenstein s'intéresse aux conséquences d'une mise en quarantaine, certes nécessaire pour limiter la propagation d'un virus pernicieux, mais qui s'éternise, poussant à bout la population. Ambiance oppressante, personnages en perdition et violences sont donc au rendez-vous ! Attention, toutefois : les scènes de sexe sont nombreuses et particulièrement explicites.