[Fantasy politique] Voilà un deuxième volet à la hauteur du premier, qui montre notamment le vrai visage de la guerre civile : l'attente interminable, les ravitaillements difficiles, les morts accidentelles, et pas uniquement les combats en première ligne. Je sais d'ores et déjà que cette histoire ne quittera jamais mon cœur de lectrice. Le plus dur a été de tourner les dernières pages et de dire au revoir aux héros, en sachant qu'il n'y aura plus jamais de première lecture. Une pépite, vraiment !
[Fantasy politique] Après 30 pages de ce premier tome de La Machine, je sentais déjà venir le coup de cœur. Arrivée au bout de ma lecture, je me suis rendue à l'évidence : c'était bien plus que cela ! Comment vous décrire ce que j'ai ressenti ? La puissance de la rébellion machiniste, la justesse des émotions des héros, la vérité contenue dans les propos de Katia Lanero Zamora : tout contribue à faire de ce roman un véritable chef-d'œuvre. Impossible de m'en défaire, même après plusieurs semaines. C'est l'une des meilleures histoires de révolte que j'ai jamais lues !
[Fantasy politique - Aventures] Même si la fin relève un peu le niveau, ce deuxième tome est une grande déception. Je n'en attendais pourtant pas grand-chose, seulement une rébellion rythmée par des émotions fortes. À la place, j'y ai trouvé des clichés, une intrigue bancale et, surtout, des héros si changeants qu'ils ont perdu toute crédibilité à mes yeux. Dommage car, sans être novateur, l'univers demeure intéressant. Mais c'est décidé, je ne lirai pas la suite !
[Fantasy politique] Bien que tous les ingrédients soient réunis pour créer un bon roman de cape et d'épée, ce premier tome manque clairement d'approfondissement, ce qui nuit à sa crédibilité. Tout va beaucoup trop vite, et l'intrigue en pâtit ! Peu fouillés, les héros peinent également à tenir leur rôle. Quant à l'antagoniste, il m'a paru inutilement machiavélique. Mais, je l'admets, le rythme effréné met en valeur l'action et les nombreux rebondissements, et j'ai eu envie de tourner les pages pour connaître la suite, d'autant que François Larzem n'hésite pas à prendre de sacrés risques dans la construction de son scénario ! Ce fut donc une lecture en demi-teinte qui me pousse, malgré tout, à découvrir le tome 2. Alors... affaire à suivre !
[Fantasy politique] Neighian, ce n'est pas une histoire reposante que l'on débute après une semaine fatigante. À l'image du Trône du fer, c'est avant tout un diptyque exigeant, riche d'un univers foisonnant et d'un scénario captivant. Le style à la fois descriptif et recherché de Louise Jouveshomme demande un peu d'entraînement, soyez donc prêt à vous investir dans votre lecture, à déchiffrer le sous-texte, à décortiquer l'intrigue. Enfin, après quelques efforts, vous plongerez dans des machinations politiques passionnantes sans aucune envie d'en revenir ! Voici donc une expérience de lecture qui n'a pas démarré sous les meilleurs auspices, mais dont je ressors plus que satisfaite. J'ai hâte de lire la suite !
[Fantasy politique] Avec Gild, j'ai pris un risque : celui de m'essayer à la romantasy ! Verdict ? Eh bien, selon moi, la romance est inexistante (pour des raisons que je vous laisserai découvrir). En revanche le sexe, lui, est bien trop présent (attention, certaines scènes sont particulièrement violentes). Du reste, ce premier tome demeure introductif. Si la magie offre déjà de belles perspectives, j'espère davantage de machinations politiques pour la suite ! Car oui, j'ai bien envie d'aller au bout de cette revisite du mythe du roi Midas...
[Dystopie - Fantasy politique] The Girl with no soul, c'est un postulat de départ auquel j'ai adhéré dès la lecture du synopsis. Les premiers chapitres m'ont enchantée : le worldbuilding était intéressant et l'héroïne, sans âme, captivante. Toutefois, même si j'ai continué à tourner les pages sans éprouver de difficultés, je me suis vite rendue à l'évidence : l'intrigue ne serait jamais approfondie. Ni complot politique, ni rébellion ne m'emporteraient ! Morgan Owen a préféré offrir une place centrale à la romance, un choix que je n'approuve décidément pas...
[Fantasy politique] Le Privilège de l'épée fut mon premier roman de cape et d'épée dans un univers imaginaire. Et quelle réussite ! Ellen Kushner tisse son intrigue avec beaucoup de finesse. En plus de créer des héros aussi importants que l'histoire elle-même, elle propose des complots politiques absolument passionnants entre deux duels à la rapière. En bref, un coup de cœur qui me donne envie de découvrir les autres écrits de l'auteure !
[Fantasy politique] Coup de cœur inattendu, Le Monde des Premiers réunit tout ce que j'aime : des complots politiques, des secrets inavouables et une lutte sans merci pour le pouvoir ! Si l'idée de grandes familles possédant toutes un talent magique particulier n'est pas novatrice, la mise en œuvre relève du génie. L'auteure maîtrise tout : la construction de son univers, les rebondissements de son intrigue et les voix de ses personnages auxquels elle a donné une véritable personnalité. J'ai hâte de lire la suite !
[Fantasy politique - Steampunk] J'avais tellement hâte de découvrir le deuxième et dernier tome de Vaisseau d'Arcane. Et je ne suis pas déçue du voyage ! Pleine de rebondissement, l'histoire allie complots politiques et rébellion pour un résultat explosif. Impossible de m'ennuyer, d'autant que je me suis prise d'affection pour les héros des deux camps. J'ai donc redouté le dénouement tout au long de ma lecture, mais c'est avec brio qu'Adrien Tomas a conclu sa duologie !
[Fantasy politique - Steampunk] C'est avec un réel plaisir que j'ai retrouvé l'univers de Vaisseau d'Arcane, déjà exploité dans les précédents romans, jeunesse ceux-ci, d'Adrien Tomas. Mais cette fois, l'intrigue est plus adulte, les machinations plus poussées, et le résultat n'en est que meilleur ! Entre la fuite éperdue de l'héroïne, bien décidée à sauver son frère, et les complots de Nym, la main armée des hautes sphères du pouvoir, je ne me suis pas ennuyée une seule seconde ! Vivement la suite !
[Fantasy politique - Heroic fantasy] Dans mes lectures, j'accorde beaucoup d'attention à la construction de l'univers. Or, Chloé Garcia a accompli un travail d'orfèvre pour le premier tome de sa saga Sous le regard de Laria ! Malheureusement, cela n'a pas suffi. Tout d'abord, je n'ai pas accroché à la forme du récit à cause d'une utilisation excessive du subjonctif imparfait et de multiples descriptions. Ensuite, j'ai trouvé le temps long ; l'intrigue est très introductive et se perd parfois dans des détails inutiles. Je pense néanmoins que d'autres lecteurs y trouveront leur compte.